Sujet : L’expression par l’art

Antoine Mountain, survivant, parle de l’expression créative que lui ont enseignée ses grands-parents et de l’expérience qu’il a acquise dans l’enseignement supérieur pour obtenir un doctorat.

Fourni par Centre national pour la vérité et la réconciliation

Durée de la vidéo : 4:44 min

Nous remercions chaleureusement nos généreux commanditaires et les donateurs :

Des services de soutien à la santé sont disponibles à des heures précises pendant la Semaine de la vérité et de la réconciliation 2025. Veuillez cliquer sur « Soutien à la santé » sous l’onglet « Ressources » dans le menu. Si vous avez besoin de soutien à d’autres moments, veuillez contacter la ligne d’écoute téléphonique nationale de la Résolution des questions de pensionnats autochtones accessible 24 heures sur 24 au 1 866 925-4419.

Le nom spirituel du CNVR, Bezhig miigwan, signifie « une plume ».

Bezhig miigwan nous invite à considérer chaque survivant qui se présente au CNVR comme une plume d’aigle, et à lui montrer le même respect et la même attention que s’il était une plume d’aigle. Ce nom signifie également que nous sommes tous ensemble – nous sommes unis et connectés, et il est vital de travailler ensemble pour parvenir à la réconciliation.

Dorene Bernard

Kesatum tan teli L’nuwey, clan Kiwnik, Sipekne’katik, Mi’kmaki, réside à Indian Brook, en Nouvelle-Écosse. Elle est la mère de 4 enfants et la grand-mère de 10 magnifiques petits-enfants. Elle a survécu au pensionnat autochtones de Shubenacadie et est de la troisième génération de sa famille à l’avoir fréquenté.

Dorene a obtenu un baccalauréat en travail social à l’Université Dalhousie en 1991 et une maîtrise en travail social dans le domaine des études autochtones à l’Université Sir Wilfrid Laurier en 2013. Elle coordonne le projet sur les répercussions des pensionnats autochtones mené au Centre culturel Mi’kmawey Debert. Ce projet vise à commémorer et honorer les survivants des pensionnats autochtones de Shubenacadie et les familles de la région de l’Atlantique qui ont fréquenté cet établissement, ainsi qu’à documenter l’histoire et les conséquences des pensionnats autochtones et des enfants qui ne sont jamais rentrés à la maison.