Balise vidéo : Inuit

Une conversation avec Monica Ittusardjuat

Monica Ittusardjuat, survivante née dans le campement hivernal d'Akkimaniq et ayant fréquenté trois pensionnats, partage ses expériences en mettant en lumière l'héritage des pensionnats, sa résilience et son attachement à son identité inuite...

« Les dons que nous portons » Rassemblement de jeunes 2025

Cette rencontre éducative en direct de 140 minutes vous plongera dans la riche mosaïque de la culture, de la musique, de la danse et de l'histoire autochtones, tout en rendant hommage aux survivants des pensionnats indiens.

Les relations à distance

Levinia Brown, survivante, parle des répercussions des pensionnats sur la langue d’une génération à l’autre, d’un point de vue inuit.

La vie dans un externat

Edna Elias, survivante, parle de la vie quotidienne dans un externat, de l’écriture de lettres adressées à sa famille et de la lecture des lettres écrites par cette dernière.

Revendiquer mon identité, avec Tagaaq

Tagaaq Evaluardjuk-Palmer, survivant, raconte son parcours pour revendiquer son nom...

La Loi sur les Indiens

Dans cette vidéo de 3 minutes avec narration de Sarain Fox, découvrez l’histoire de la Loi sur les Indiens et ses répercussions aujourd’hui.

Dorene Bernard

Kesatum tan teli L’nuwey, clan Kiwnik, Sipekne’katik, Mi’kmaki, réside à Indian Brook, en Nouvelle-Écosse. Elle est la mère de 4 enfants et la grand-mère de 10 magnifiques petits-enfants. Elle a survécu au pensionnat autochtones de Shubenacadie et est de la troisième génération de sa famille à l’avoir fréquenté.

Dorene a obtenu un baccalauréat en travail social à l’Université Dalhousie en 1991 et une maîtrise en travail social dans le domaine des études autochtones à l’Université Sir Wilfrid Laurier en 2013. Elle coordonne le projet sur les répercussions des pensionnats autochtones mené au Centre culturel Mi’kmawey Debert. Ce projet vise à commémorer et honorer les survivants des pensionnats autochtones de Shubenacadie et les familles de la région de l’Atlantique qui ont fréquenté cet établissement, ainsi qu’à documenter l’histoire et les conséquences des pensionnats autochtones et des enfants qui ne sont jamais rentrés à la maison.